Denis Devaux a joué dans toutes les équipes de France, mais il ne compte finalement qu’une seule sélection en équipe de France A. C’était contre l’Autriche en 1965. Il est décédé le 29 janvier 2025 à l’âge de 86 ans.

Depuis 2013, Didier Deschamps a connu 11 débuts d’année civile avec les Bleus (il n’y en a pas eu en 2020) pour 23 matchs joués (3 en 2013 et 2021, 1 en 2014). On tient compte dans cette étude des matchs joués en février et mars.

Denis Law, l’Ecossais de Manchester décédé le 17 janvier 2025, avait remporté un Ballon d’or en 1964 sans avoir jamais croisé les Bleus. Seuls quatre autres Ballons d’or sont dans ce cas.

Quel Bleu a joué le plus souvent en équipe de France, tout en restant fidèle au même club ? Les changements récurrents d’équipes des internationaux les plus capés rendent cette question ardue et amènent quelques surprises si on dresse un top 10 en combinant le nombre de sélections et les clubs.

Un gardien très précoce, un avant-centre tardif, deux champions du monde détenteurs de records de sélections et de buts : la génération 1986, c’est quelque chose.

Christopher Nkunku est le dernier en date nouveau porteur du numéro 10. Depuis que Zidane l’a libéré en juillet 2006, ils sont 14 à l’avoir porté. Hormis Benzema et Mbappé, pour les autres il a plus été porte-poisse que trèfle à quatre feuilles.

Depuis 1945, 112 joueurs différents ont porté le numéro 10 en Bleu, sans pour autant occuper les fonctions d’un meneur de jeu. Si Zidane arrive largement en tête, Platini n’est que quatrième, derrière Mbappé et Benzema, deux attaquants de pointe.

L’année 2025 ne comptera que des adversaires européens pour les Bleus, pour la quatrième fois en six ans. La Ligue des Nations qui a fortement réduit le nombre d’amicaux en est la cause principale.

Adrien Truffert attend depuis 2022 une nouvelle convocation pour honorer sa deuxième sélection. En attendant, il s’est illustré aux Jeux olympiques de Paris.

C’était elle qui devait arriver à maturité en 1988 ou 1990. Elle n’ira ni à l’Euro allemand, ni à la Coupe du monde italienne. Seuls Manuel Amoros et Bruno Bellone ont brillé, mais c’était avant.