Un Euro complètement raté, une ancienne gloire au poste de sélectionneur qui s’en va sur et un autre qui arrive : bienvenue en 1992, dont on retiendra les sept buts de Papin et les débuts de Lizarazu.
1992, une année dans le siècle

Il est né le 5 novembre 1963 à Boulogne sur Mer et intègre l’équipe de France en 1986 alors qu’il joue à Bruges, en Belgique. Sa carrière va de la fin de la période de Platini au début de celle de Zidane, en 1995. En 54 sélections, il marque 30 buts et forme avec Eric Cantona un redoutable duo d’attaquants. Ballon d’Or 1991, il ne joue que deux phases finales, la Coupe du monde 1986 où il perd sa place de titulaire à l’issue du premier tour, et l’Euro 1992 où il marque deux buts.
Un Euro complètement raté, une ancienne gloire au poste de sélectionneur qui s’en va sur et un autre qui arrive : bienvenue en 1992, dont on retiendra les sept buts de Papin et les débuts de Lizarazu.
Trois mois avant le début du Mundial mexicain, un petit nouveau fait ses débuts chez les Bleus sur la pelouse gelée du Parc contre l’Irlande du Nord : il s’appelle Jean-Pierre Papin. Pas encore au point, mais gros potentiel.
Avec 1984, c’est la seule année de l’histoire des Bleus à ne compter que des victoires, mais il y eu très peu de matches (six). Dirigée par Michel Platini et bâtie pour le contre et le duo Papin-Cantona, l’équipe de France élimine la Tchécoslovaquie et surtout l’Espagne grâce à des victoires probantes à l’extérieur.
Avec trente buts marqués en sélection, Trezegol rejoint Platoche, Justo et JPP. L’occasion de revenir sur un parcours moins rectiligne que celui de ses confrères...
Les carnets de l’archiviste sur les site des cahiers du football après France-Angleterre. Surpris d’être alignés en même temps, Anelka et Trezeguet en ont oublié de jouer ensemble - Blanc-Deschamps, 5 septembre 2000 - Derniers appelés avant la liste : recalés, bouche-trou, météorites et futurs cadres...