Première partie d’une série sur la façon dont s’est terminée la carrière d’une trentaine d’internationaux. En commençant par ceux, et pas des moindres, qui sont partis dans l’anonymat, sans savoir qu’ils jouaient leur dernier match.
Jean-Pierre Papin
Il est né le 5 novembre 1963 à Boulogne sur Mer et intègre l’équipe de France en 1986 alors qu’il joue à Bruges, en Belgique. Sa carrière va de la fin de la période de Platini au début de celle de Zidane, en 1995. En 54 sélections, il marque 30 buts et forme avec Eric Cantona un redoutable duo d’attaquants. Ballon d’Or 1991, il ne joue que deux phases finales, la Coupe du monde 1986 où il perd sa place de titulaire à l’issue du premier tour, et l’Euro 1992 où il marque deux buts.
Ils ont marqué les premiers
Antoine Griezmann est le 53e buteur français en Coupe du monde. Il est aussi le premier de l’édition 2018. De Laurent à Benzema en passant par Lacombe, Fontaine, Papin ou Dugarry, voici ses dix prédécesseurs.
Leur toute première fois
De Kopa à Griezmann en passant par Fontaine, Herbin, Platini, Ettori, Papin, Zidane et Ribéry, neuf récits de leur premier match de Coupe du monde. Parfois brillant, parfois tragique...
Génération 7 : les années Papin (1986-1995)
Prenez quelques cadres de la génération Platini et des débutants qui feront celle de Zidane. Ajoutez une ossature marseillaise et le duo Papin-Cantona devant. Résultat ? Deux sélectionneurs virés et un troisième qui jette l’éponge.
Les dix générations qui ont fait l’histoire des Bleus
De 1920 à aujourd’hui, on peut dégager dix générations successives autour d’un joueur clé. Devaquez, Mattler, Baratte, Bereta, Papin et Ribéry ont ainsi assuré la continuité autour des époques Kopa, Platini et Zidane. Présentation de la série.
1986, une année dans le siècle
Du soleil de Guadalajara à la nuit noire de Leipzig, de Michel Platini à Philippe Jeannol, des adieux de Giresse aux débuts de Papin, c’était 1986, l’année de Tchernobyl et de la mort de Coluche.