De Henri Guérin à Didier Deschamps, seize sélectionneurs ont dirigé l’équipe de France lors des cinquante dernières années. Ils ont désormais droit à leur tableau qui compare leurs performances respectives.
Raymond Domenech
Il est né le 24 janvier 1952 à Lyon. Sa carrière de joueur va de Lyon à Mulhouse en passant par Strasbourg, le PSG et Bordeaux. Il compte huit sélections en équipe de France ntre 1973 et 1979. Sélectionneur des Espoirs de 1993 à 2004, il prend ensuite en charge les A avec lesquels il obtient une place de finaliste à la Coupe du monde 2006. Après 79 matches sur le banc (record) et trois dernières saisons éprouvantes ponctuées par le fiasco de Knysna, il est remplacé par Laurent Blanc en juillet 2010.
17 août 2005 : le premier France-Côte d’Ivoire
La première confrontation entre l’équipe de France A et la Côte d’Ivoire a eu lieu le 17 août 2005 à Montpellier. Mais l’événement du match ne fut pas seulement le caractère inédit de l’adversaire...
18 août 2004 : le premier France-Bosnie
C’est à Rennes, le mercredi 18 août 2004, que les sélections de France et de Bosnie-Herzégovine se sont rencontrées pour la première fois. C’était aussi le jour des débuts d’un nouveau sélectionneur, Raymond Domenech.
Comment repartir après un échec ? Cinq précédents depuis 2002
On l’oublie les soirs de victoire, mais le football est aussi fait (et majoritairement) de défaites et d’éliminations. Deux mois après l’Euro, retour sur les cinq étés qui ont suivi une phase finale manquée lors des vingt dernières années.
Sélectionneurs, une vie après les Bleus
L’annonce de l’arrivée surprise de Raymond Domenech sur le banc du FC Nantes, quelques jours après la signature de Laurent Blanc à Al-Rayyan donne l’occasion de revenir sur les parcours des ex-sélectionneurs.
Sélectionneurs des Bleus, les bonus (10/11) : Domenech et Knysna
Le 20 juin 2010, sur le Field of dreams situé près du Pezula Resort à Knysna (Afrique du Sud), se joue l’épilogue des six années passées par Raymond Domenech à la tête de l’équipe de France. Mouvement de solidarité pour les joueurs, sabordage honteux pour les médias.