De nombreux Bleuets, une fois leurs années de formation terminées, ont décidé, par conviction ou opportunité, de défendre le maillot d’une autre nation. La liste est bien entendue trop longue à constituer, mais cet article met en avant le parcours de quelques-uns d’entre eux.

On n’attendait pas de surprise, et il n’y en a pas eu. Mais le forfait d’Antoine Griezmann entraîne le retour de Mattéo Guendouzi. L’absence de Kingsley Coman sur blessure a été compensée par Moussa Diaby. Adrien Rabiot est dans la liste.

Le maillot que portera l’équipe de France à l’Euro 2024 (et jusqu’à la fin des qualifications pour la Coupe du monde 2026) ressemble beaucoup au Coq sportif de 1970. Et la version blanche rappelle celui de 1981.

Tous deux vainqueurs de l’Italie en mars 1912 à Turin, Etienne Jourde et Henri Viallemonteil ont d’autres points communs : le club, le métier (photograveur), diminués par des blessures et morts prématurément.

Depuis le 26 mai 1945, 626 joueurs ont porté un maillot avec l’un des 32 numéros utilisés à ce jour par l’équipe de France. Lesquels ont toujours eu le même numéro ? Lesquels en ont toujours changé ? Et aussi les numéros les plus utilisés et ceux à usage unique.

Ils sont plus de 540 à avoir dirigé les matchs de l’équipe de France depuis 1904. De John Keene à Aleksander Stavrev en passant par Arthur Ellis, Anders Frisk ou Saïd Belqola, ils ont fait l’histoire des Bleus. Voici la leur.

Après nous être intéressé aux Bleus qui ont décidé de changer de sélection, voyons le parcours de quelques joueurs qui ont choisi de porter les couleurs françaises, alors qu’ils avaient la possibilité d’évoluer pour une autre nation ou qui avaient déjà évolué sous d’autres couleurs.

Dix-neuf internationaux français ont porté le célèbre maillot blaugrana du FC Barcelone. Les réussites furent rares.

Avec un patronyme écrit de trois manières différentes et deux prénoms dont l’un ne figure pas dans son état-civil, Henri Vascout est un exemple de casse-tête généalogique. Et mieux valait pour le corps arbitral ne pas contrarier sa mère...

Si vous aimez les maillots vintage autant que les articles de Chroniques bleues, voici comment joindre l’utile à l’agréable. Tristan Boidron, le créateur de Back to the football, vous en parle ici.