Nasser, Bardot, Khrouchtchev, Mimoun, mais aussi les débuts de Rachid Mekhloufi, la dernière sortie de la grande équipe de Hongrie et le quintuplé de Thadée Cisowski : 1956, année nostalgique.
1956, une année dans le siècle

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Nasser, Bardot, Khrouchtchev, Mimoun, mais aussi les débuts de Rachid Mekhloufi, la dernière sortie de la grande équipe de Hongrie et le quintuplé de Thadée Cisowski : 1956, année nostalgique.
De Marius Trésor à Yoann Gourcuff en passant par Alain Boghossian et Djibril Cissé, petit tour d’horizon des grands noms qui ont manqué l’Euro pour blessure ou mise à l’écart au dernier moment.
Comme il est de tradition ici, à chaque jour de l’An on se projette sur l’année nouvelle que l’on espère riche en émotions et, pourquoi pas, un troisième titre européen ! Un article à relire en fin d’année pour voir ce qui s’est réalisé.
Le coup franc transformé par Valbuena, les quatre buts encaissés par Lloris contre la Belgique, le doublé express de Giroud et l’attaque U20 Martial-Coman : il s’en est passé des choses en 2015, finalement.
Quatre débutants et deux retours : Deschamps a chamboulé son attaque cette année, et il a bien fait, car l’affaire Benzema-Valbuena aura sûrement des conséquences pour l’Euro. Et l’éclosion de Martial est une excellente nouvelle.
Aucun nouveau joueur n’a été lancé dans l’entrejeu, mais l’un d’eux a fait un retour fracassant : Lassana Diarra complète désormais le trio de titulaires derrière un Matuidi impérial et un Pogba dispersé.
Trois gardiens, onze défenseurs, un seul nouveau : Deschamps a joué l’expérience cette année et pourrait partir à l’Euro avec les mêmes qu’en 2014, ou presque. Le changement, c’est pour plus tard.
L’UEFA a lancé en grandes pompes (vernies) l’Euro 2016 au Palais des Congrès où le tirage au sort a accouché des six groupes du premier tour. Celui de la France n’est ni original ni très excitant.
Coincée entre un Mondial et un Euro, cette année aura été mouvementée pour Didier Deschamps, aussi bien dans le domaine sportif avec des résultats en dents de scie que dans l’extra-sportif avec l’affaire Benzema/Valbuena. Mais le capitaine des champions du monde a de la ressource.
Première partie de la rétro de l’année, en commençant par ce qu’il faut retenir de ces dix matches amicaux riches en buts, en coups de mou derrière et en coups d’éclats devant.