Ils ont joué en bleu contre des sélections A étrangères, mais c’était au sein de l’équipe de France B, ou A’ : ils sont près de 200 dans ce cas à ne jamais avoir joué en A par la suite. C’est la troisième et dernière catégorie des quasi-bleus.
Un nom sur un maillot
931 joueurs ont porté au moins une fois le maillot de l’équipe de France. De Jurietti, dont la carrière internationale a duré 8 secondes, à Lilian Thuram, qui a joué plus de 194 heures, tous ont une histoire qui mérite d’être racontée, ainsi que celle de quelques illustres adversaires. Retrouvez dans cette rubrique des portraits individuels ou collectifs, avec des statistiques inédites.
Bruno Martini, les années bleues
Bruno Martini, ancien gardien de l’équipe de France, mais aussi d’Auxerre, de Nancy et Montpellier, a succombé à un malaise cardiaque le 20 octobre 2020. Il avait 58 ans.
Olivier Giroud, huitième centenaire
Il succède à Lloris en 2018, Henry en 2008, Zidane et Vieira en 2006, Thuram en 2004, Desailly en 2002 et Deschamps en 2000. Olivier Giroud est le huitième Bleu à atteindre le cap des 100 sélections.
Les quasi-Bleus (2/3) : ceux des matchs officieux
Ceux-là ont porté le maillot bleu, ont joué avec, mais ne comptent aucune sélection : le match auquel ils ont participé n’était pas officiel, non reconnu par la FIFA. Pas de chance. Ils sont 91 dans ce cas.
Les quasi-Bleus (1/3) : ceux des sélections blanches
D’Emile Fontaine à Mattéo Guendouzi en passant par Numa Andoire, Jacques Favre, Auguste « Napoléon » Schalbart, Jean Snella, Jacques Santini ou Loïc Perrin, ils sont 145 à avoir ciré le banc de la sélection sans jamais entrer en jeu. Ce qu’on pourrait appeler des sélections blanches.
A la recherche du benjamin des Bleus
Si le nom de Julien Verbrugge revient le plus souvent quand est cité le plus jeune joueur en équipe de France, ce n’est probablement pas lui. Pierre Cazal s’est plongé dans les archives militaires et des morts à la Grande Guerre pour identifier le bon. Il s’agit de Félix Vial.