Vous avez peut-être déjà vu un de ses concepts de maillot de l’équipe de France sur Twitter ou Instagram. Depuis bientôt deux ans, ses créations emballent la toile. Interview de Clément Thiery, alias Saintetixx.

Un maillot couleur champagne, un autre orné de cristaux de Swarovski, un formulaire à colorier, un flocage numéro 337, le 10 de Mbappé pour 160 000 euros et un gardien trop grand pour son maillot.

En août 2016, Bruno Martini avait accepté de répondre à mes questions dans le cadre de mon manuscrit sur l’histoire du maillot des Bleus. Elles ne figurent pas dans le livre, mais elles apportent un éclairage intéressant sur les spécificités du maillot de gardien.

Du chandail noir de Chayriguès au jaune fluo Dri-Lift de Lloris, les portiers de l’équipe de France ont vu la texture et la couleur de leur maillot évoluer au fil du temps. Même si eux ne jouent presque jamais en bleu...

Si l’équipe de France a officiellement découvert les tirs au but en demi-finale de la Coupe du monde 1982, six des héros de Séville, ainsi que leur entraîneur, avaient eu l’occasion d’expérimenter l’exercice dès avril 1976, avec les Espoirs.

Matuidi toujours disponible pour les Bleus dans Le Parisien, l’hommage à Maradona dans France-Football, les fake news du Sun à propos de Pogba, Camavinga dans la liste du Golden Boy 2020 de Tuttosport et Le Graët qui s’inquiète dans les colonnes de L’Equipe.

Le Brésilien Zico a joué trois fois contre la France au cours de sa carrière. Il lui a marqué un but mais en a aussi manqué un très grand nombre. Dont un pénalty, en Coupe du monde.

Ils ont joué en bleu contre des sélections A étrangères, mais c’était au sein de l’équipe de France B, ou A’ : ils sont près de 200 dans ce cas à ne jamais avoir joué en A par la suite. C’est la troisième et dernière catégorie des quasi-bleus.

Le 12 novembre est sorti chez Solar un livre que Matthieu Delahais a porté depuis de nombreuses années, bien avant de concrétiser le Dico des Bleus : l’histoire du maillot de l’équipe de France.

Le 22 octobre 1908, les Bleus reçoivent une dérouillée monumentale, 17-1, en demi-finale des Jeux olympiques face au Danemark. Ce score est encore à ce jour le plus large en phase finale. Mais d’autres sélections ont subi des revers bien plus cuisants.