C’est au stade Ramón Sánchez-Pizjuán à Séville que l’équipe de France a disputé son match le plus fou, le plus intense, le plus renversant, le plus injuste, le plus cruel de son histoire.
Sánchez-Pizjuán, un stade dans l’histoire des Bleus

C’est au stade Ramón Sánchez-Pizjuán à Séville que l’équipe de France a disputé son match le plus fou, le plus intense, le plus renversant, le plus injuste, le plus cruel de son histoire.
Nouvel entretien avec l’un des auteurs du Dico des Bleus. Cette fois, c’est Bruno Colombari qui apporte son éclairage sur la période 1982-1986, celle qui a tout changé grâce entre autres à l’invention du carré magique.
Patrick Lemoine raconte la génèse et les exploits du carré magique des Bleus, qui constitua entre 1982 et 1986 le meilleur milieu de terrain de l’Histoire de l’équipe de France. Ses quatre protagonistes (qui étaient en fait cinq) racontent leur version du mythe.
A l’occasion de la publication de ses Carnets secrets, Michel Hidalgo a accordé à Chroniques bleues un entretien passionnant sur la naissance du carré magique, sa façon de gérer les conflits, le débat entre puissance et technique ou son coaching lors de France-RFA.
L’explosion d’Amoros, la folle nuit de Séville, l’arrivée de Luis Fernandez : l’année de Thriller et de E.T. n’a manqué ni de grandes frayeurs ni de belles émotions. Elle a surtout vu les Bleus changer de statut.
Version obscure de ses petites sœurs de Marseille et de Guadalajara, la demi-finale sévillane du Mundial 1982 concentre en deux heures et quart bonheur, colère, admiration et chagrin, en un va-et-vient machiavélique au terme duquel l’équipe de France sortira grandie et celle d’Allemagne ébranlée.