Alors que l’équipe de France se dirige fièrement vers un titre de champion du monde du n’importe quoi, penchons-nous un instant sur les raisons occultes d’une catastrophe annoncée.
Les raisons secrètes de l’entropie fatale

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Alors que l’équipe de France se dirige fièrement vers un titre de champion du monde du n’importe quoi, penchons-nous un instant sur les raisons occultes d’une catastrophe annoncée.
Les Carnets de l’archiviste après Roumanie-France sur le site des Cahiers du football. Monument en péril, Patrick Vieira a failli interrompre une série noire commencée il y a bientôt deux ans. Tout comme la quinzième charnière centrale de l’ère Domenech…
Le dixième but en bleu de Benzema, la plus petite victoire à domicile contre le Luxembourg et les séries positives qui commencent à prendre tournure.
Désormais abonnés au 2-0, les Bleus ont ont assuré le minimum syndical contre le Luxembourg avec un manque d’imagination dans la construction plutôt inquiétant.
Le premier but de Loïc Rémy, les débuts de Dimitri Payet et un retour sur la réaction des Bleus après une défaite à domicile en compétition.
Contre la Roumanie, les Bleus ont fait la synthèse de leurs deux derniers matches : laborieux et stressants pendant une heure vingt-trois, percutants et efficaces pendant les dix dernières minutes. On aurait préféré le contraire, mais on s’en contentera.
Avec 79 matches dirigés, Raymond Domenech est désormais le sélectionneur le plus capé de l’histoire de l’équipe de France. Mais que vaut son bilan par rapport à celui de ses prédécesseurs ? A-t-il fait mieux qu’Hidalgo, Lemerre ou Jacquet ?
Retour sur les quatre grandes charnières centrales de l’histoire des Bleus : Trésor-Adams (années 70), Battiston-Bossis (années 80), Blanc-Desailly (années 90) et Thuram-Gallas (années 2000). Rami et Mexès formeront-ils la cinquième ?
Pas pour la Marseillaise, pas pour les sponsors, pas pour les primes, pas pour les résultats à n’importe quel prix, pas pour les coups de com de la fédé, pas pour les olas au stade de France... Mais pourquoi, alors ?
Son but en finale contre le Brésil restera à jamais dans l’histoire. Pourtant, le parcours d’Emmanuel Petit, 40 ans aujourd’hui, 63 sélections en 13 ans de carrière internationale, est tout sauf linéaire.