Trois joueurs français figurent dans l’équipe d’Aston Villa qui affronte le Paris Saint-Germain en quarts de finale de la Ligue des Champions. Dans l’histoire, une dizaine d’internationaux tricolores ont porté le fameux maillot claret and blue.

Qu’elle évolue en bleu, en blanc ou en rouge, l’équipe de France affronte des adversaires qui portent des couleurs souvent habituelles, parfois moins. Il arrive aussi que les deux équipes jouent avec des tenues alternatives. Une dataviz par match a été ajoutée à l’article.

Si Pirès, Desailly, Lizarazu et Deschamps sont les Bleus les plus titrés (4 trophées), dans le staff de l’équipe A, certains ont fait encore mieux.

Il s’en est fallu de peu, mais la génération 1983 n’aura pas été titrée, ni au début de son apparition en 2006, ni en fin de parcours, en 2016, avec à chaque fois une finale perdue.

Albert Vannucci est décédé le 6 avril 2025 à l’âge de 77 ans. Le natif d’Ajaccio avait porté le maillot de l’ACA et du Gazélec, mais aussi ceux de Sochaux, Marseille et Monaco. Sans oublier celui de l’équipe de France sous l’ère Stefan Kovacs.

Chaque année, il y a environ sept internationaux français qui décèdent, un peu plus de 500 depuis 1911. Si aujourd’hui l’âge moyen au moment de la mort est de 82 ans, certains ont disparu très jeunes, notamment lors de la Première Guerre mondiale.

Entre 20 et 102 ans, ils sont un peu plus de 500 à avoir disparu depuis 1911. Voici représenté sous forme de dataviz l’âge de décès des internationaux français.

Suisse-France, ça vous dit quelque chose ? Pas le dernier joué à Bucarest à l’Euro 2020, mais celui du 8 avril 1945, disputé dans une ambiance chaleureuse et amicale à Lausanne, un mois avant la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Une vidéo de 211 secondes nous le remet en mémoire.

Depuis la finale de la Coupe du monde 2022, où un arrêt extraordinaire l’a rendu célèbre, le gardien argentin Emiliano Martinez est devenu l’un des footballeurs les plus détestés de l’hexagone.

Le sociologue Daniel Ollivier publie un ouvrage qui donne matière à réflexion sur l’identité du football, à l’heure où celle-ci est dénaturée par le système économique.